En avril, Alger avait déjà renvoyé douze agents en France, provoquant une décision équivalente de Paris. Cette fois encore, une partie des fonctionnaires visés sont des agents des services de renseignement qui, officiellement, n’auraient pas respecté les procédures. Ces renvois sont surtout de nouveaux indices de la dégradation des relations entre les deux pays.
Parmi la quinzaine de personnes concernées par cette demande de rapatriement immédiat d’Alger, figurent deux agents de la DGSI, le contre-espionnage français. © Arthur Nicholas Orchard/Hans Lucas via AFP
Publié le 12 mai 2025 Lecture : 4 minutes.
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À chaque nouvelle polémique, l’on se demande quand surviendra la prochaine, qui abîmera encore plus les relations franco-algériennes. Elle est arrivée ce dimanche 11 mai avec la convocation du chargé d’affaires à l’ambassade de France en Algérie au siège du ministère algérien des Affaires étrangères. Assurant l’intérim en l’absence de l’ambassadeur Stéphane Romatet, rappelé à Paris le 15 avril
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