
Lors d’une allocution virulente, le Premier ministre sénégalais a lancé de nombreuses piques contre le chef de l’État, dénonçant à mots couverts un complot au sein de Pastef qui viserait à l’évincer.
Un partisan de Pastef brandit une affiche de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko avant leur dernier meeting de campagne pour la présidentielle, à Mbour, le 22 mars 2024. © JOHN WESSELS/AFP
Publié le 11 juillet 2025 Lecture : 5 minutes.
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Est-ce le coup bas de trop ? À deux reprises, en dix jours, le Premier ministre Ousmane Sonko s’est comporté tel un boxeur s’acharnant sur son adversaire sans tenir compte des règles de la discipline, ni des avertissements de l’arbitre. Après avoir voué la magistrature aux gémonies une semaine plus tôt, ulcéré de la décision défavorable rendue par la Cour suprême dans l’affaire qui l’opposait à
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Mehdi Ba Journaliste à Jeune Afrique
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