
Alors que la ministre française de la Culture est renvoyée en correctionnelle dans l’affaire Carlos Ghosn, deux ex-ministres marocains témoignent de son rôle stratégique dans l’implantation de Renault à Tanger.
Rachida Dati, la ministre française de la Culture et maire du VIIe arrondissement de Paris, le 16 avril 2025, à Paris. © STEPHANIE LECOCQ/REUTERS
Publié le 1 août 2025 Lecture : 3 minutes.
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C’est un épisode discret, glissé entre les lignes d’une procédure judiciaire explosive. Dans l’affaire Carlos Ghosn-Renault-Nissan, dans laquelle la ministre française de la Culture, Rachida Dati, est accusée par le parquet national financier d’avoir perçu plus de 900 000 euros d’honoraires entre 2010 et 2012 pour des missions d’avocat-conseil jugées peu documentées, deux anciens ministres
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Fadwa Islah Journaliste à Jeune Afrique
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