
Ce 17 décembre, les partisans du président Saïed ont commémoré la mort de Mohamed Bouazizi, point de départ de la révolution de 2011. Une date alternative à celle, habituelle, du 14 janvier et de la fuite du président Ben Ali. Comme un symbole de deux Tunisie qui s’opposent, défilent chacune de leur côté et ne parviennent pas à dialoguer.
Des partisans de Kaïs Saïed rassemblés pour commémorer le 15e anniversaire du déclenchement de la révolution tunisienne devant le Théâtre municipal de la rue Habib Bourguiba à Tunis, le 17 décembre 2025. © Hasan Mrad/ZUMA/SIPA
Publié le 18 décembre 2025 Lecture : 2 minutes.
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Ils ont été quelques milliers à investir, le 17 décembre, la plus grande artère de la ville pour défiler en scandant des slogans à la gloire de la souveraineté nationale, appelant au rejet de la corruption et de toute ingérence étrangère et rappelant, enfin, leur indéfectible attachement à Kaïs Saïed. « C’est un comble ! On n’a jamais vu de manifestations faire l’éloge du pouvoir mais plutôt le
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Thomas Paillaute
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