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Douala est dite « frondeuse », mais ses maires soutiennent Paul Biya

Alors qu’elle est réputée être un fief historique de l’opposition, la capitale économique camerounaise est dirigée par un maire membre du parti au pouvoir, le RDPC, de même que les édiles des six communes qui la composent. Parmi eux, Jean-Jacques Lengue Malapa et Denise Fampou, à la tête de deux arrondissements stratégiques depuis dix-huit ans. Portraits.

Jean-Jacques Lengue Malapa et Denise Fampou, maires du 1er et du 2e arrondissement de Douala © Montage JA ; DR ; Denise Kapou Officiel

Publié le 6 août 2025 Lecture : 4 minutes.

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Franck Foute Journaliste à « Jeune Afrique », spécialiste du Cameroun

Issu du dossier

Douala, capitale de la Cemac

Creuset culturel, bassin industriel et gisement d’affaires à très fort potentiel, la métropole océane est la porte d’entrée de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale et son moteur de croissance. Elle est aussi le cœur battant de l’identité camerounaise. N’en déplaise à Yaoundé…

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Article écrit publié en premier sur JeuneAfrique.Com

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