
À Bangui, le gouvernement de Faustin-Archange Touadéra et le Bloc républicain pour la défense de la Constitution (BRDC, opposition) ont lancé des discussions pour tenter d’apaiser les tensions. Mais l’ouverture politique reste fragile.
Les participants au premier jour du dialogue entre le pouvoir centrafricain et le BRDC, à Bangui, le 2 septembre 2025. © DR
Publié le 6 septembre 2025 Lecture : 3 minutes.
Fichier généré le
À quelques mois des élections générales prévues fin décembre en Centrafrique, les autorités posent l’un des jalons majeurs de la préparation de ce rendez-vous. Après des mois de tensions et de revendications, le gouvernement de Faustin-Archange Touadéra a accepté d’engager un dialogue avec l’opposition, réunie au sein du Bloc républicain pour la défense de la Constitution (BRDC). Cette décision,
la suite après cette publicité
Pacôme Pabandji
Article écrit publié en premier sur JeuneAfrique.Com