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En Tunisie, l’ « Engagement patriote » tente d’unir une opposition affaiblie

Face à un président Kaïs Saïed omniprésent et renforcé par la constitution de 2022, l’opposition tunisienne – dont plusieurs leaders sont emprisonnés — peine à exister. Pour ce faire, plusieurs des mouvements qui la composent ont présenté une nouvelle initiative, l’ « Engagement patriote ».

L’ « engagement patriote » a été lancé le 15 octobre avec pour hôte d’honneur Mohamed Ennaceur, ancien président de la République par intérim en 2019, qui fut également président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). © Fethi Belaid/AFP

Publié le 16 octobre 2025 Lecture : 3 minutes.

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La morosité sans précédent qui pèse sur la vie publique tunisienne est telle que l’annonce, dans la matinée du 15 octobre, du lancement de l’ « Engagement patriote », une nouvelle initiative politique et citoyenne, a suffi à provoquer un appel d’air et à relancer les discussions.

À l’origine de cette démarche, le Parti Destourien Libre (PDL) – qui appelait déjà à un « front commun » des partis

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Frida Dahmani Correspondante en Tunisie de Jeune Afrique

Article écrit publié en premier sur JeuneAfrique.Com

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