
Si le mouvement de protestation des étudiants en médecine marocains, qui refusent que leur cursus soit ramené de sept à six ans, alimente l’actualité depuis des mois, le royaume n’est pas seul concerné. En Algérie, ce sont le système de résidanat et les freins aux départs pour l’étranger qui provoquent les principales tensions.
Devant la faculté de médecine d’Alger. © DR
Publié le 27 octobre 2024 Lecture : 2 minutes.
En grève dans les principales facultés d’Algérie depuis le 14 octobre 2024, les étudiants en sciences médicales (médecine, pharmacie, chirurgie dentaire) n’en démordent pas. En dépit d’une réunion, le 20 de ce mois, entre leurs représentants et le ministre de l’Enseignement supérieur qui a duré plus de sept heures, ils n’abandonnent pas la protestation.
Les représentants des étudiants, jugent
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