Or et souverainisme au Burkina Faso : le code minier d’Ibrahim Traoré porte-t-il ses fruits ?
Près d’un an après la mise en place du nouveau code minier par la junte dirigée par Ibrahim Traoré, le Burkina Faso poursuit sa politique de « souveraineté minière ». Le pays, désormais propriétaire de deux mines d’or, a cependant nombre de défis à relever pour réellement profiter de la manne aurifère. Décryptage en infographies.
Le président du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, arrive à un aéroport de Moscou, en Russie, le 8 mai 2025
Publié le 12 juillet 2025 Lecture : 4 minutes.
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C’était il y a un an, quasiment jour pour jour. Le 18 juillet 2024, l’Assemblée législative de transition (ALT), qui remplace le Parlement burkinabè depuis sa dissolution qui a suivi le coup d’État de janvier 2022, votait la loi refondant le code minier. Les grandes lignes de ce texte, promulgué quasiment dans la foulée, le 31 juillet, par un décret signé du capitaine Ibrahim Traoré, avaient été
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Maÿlis Dudouet Journaliste à Jeune Afrique
Matthieu Millecamps Rédacteur en chef adjoint Nouvelles écritures. Notamment en charge de la coordination des infographies et vidéos.
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