
La publication des résultats officiels de la présidentielle camerounaise donnant le chef de l’État sortant, Paul Biya, vainqueur, a provoqué une série de violences, notamment à Douala. Un coup dur pour l’activité économique du pays, le patronat s’attendant à une facture salée.
Pillages et dégradations se sont multipliés ces derniers jours, en particulier dans la capitale économique camerounaise (ici le 28 octobre). © AFPTV/AFP
Publié le 30 octobre 2025 Lecture : 4 minutes.
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Les images de l’agence Société générale du carrefour Saint-Michel, à trois kilomètres de l’aéroport international de Douala, ont fait le tour des réseaux sociaux camerounais. La porte principale enfoncée par des pillards, deux distributeurs saccagés, des ordinateurs emportés et du mobilier de bureau détruit. « Pas d’impact sur les avoirs et les données clients », assure-t-on au sein de
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Omer Mbadi Correspondant de Jeune Afrique au Cameroun
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