Comment le Nigeria a fait avorter le mégadeal entre Shell et Renaissance
Le gouvernement a exprimé des inquiétudes quant à la capacité de l’acheteur à gérer les actifs de Shell évalués à 1,3 milliard de dollars, soulignant ainsi les nouvelles directives strictes du Nigeria en vertu de la loi sur l’industrie pétrolière (Petroleum Industry Act).
Plateforme pétrolière de Shell dans le delta du Niger, au Nigeria, en 2006. © SHELL/AP/SIPA
Publié le 26 août 2024 Lecture : 2 minutes.
Le gouvernement nigérian – par l’intermédiaire de la Nigerian Upstream Production Commission (NUPRC) – a rejeté la proposition de Shell International Plc de vendre ses actifs onshore à Renaissance dans le cadre d’une transaction estimée à 1,3 milliard de dollars, selon plusieurs sources consultées par Jeune Afrique. Shell avait annoncé plus tôt dans l’année son intention de vendre la totalité de
la suite après cette publicité
Article écrit publié en premier sur JeuneAfrique.Com