Sur la Libye comme sur d’autres zones de crise, l’administration américaine a l’ambition de frapper vite et fort et d’imposer une résolution rapide du conflit. C’est dans ce but que l’envoyé spécial de Donald Trump pour l’Afrique a réuni à Rome les représentants des deux gouvernements libyens, et a posé ses conditions pour s’impliquer plus dans les négociations.
L’envoyé spécial de Donald Trump pour l’Afrique, Massad Boulos, a réuni les représentants des deux gouvernements cohabitant en Libye. © Karim JAAFAR / AFP
Publié le 9 septembre 2025 Lecture : 3 minutes.
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Une rencontre très discrète a réuni, le 3 septembre à Rome, des représentants des deux gouvernements qui cohabitent en Libye : Ibrahim Dbeibah, neveu et conseiller à la sécurité nationale du Chef du Gouvernement d’Union Nationale (GUN), Abdelhamid Dbeibah, et Saddam Haftar, qui a reçu les pleins pouvoirs de la chambre des représentants de Benghazi en tant que successeur désigné par son père, le
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Jeune Afrique
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