
Si l’intervention du président allemand en faveur de l’écrivain franco-algérien a pu surprendre, Berlin était en fait associé à la résolution du conflit depuis plusieurs mois. Les épisodes qui ont suivi la remise en liberté de Boualem Sansal, par contre, ont échappé au contrôle des diplomates et provoqué des remous inattendus dans les trois pays.
Rassemblement de soutien à l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, le 25 mars 2025. © Bastien Ohier/Hans Lucas via AFP
Publié le 17 novembre 2025 Lecture : 4 minutes.
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Alors que des demandes de grâce pour Boualem Sansal avaient été lancées – depuis son arrestation à Alger le 16 novembre 2024 puis sa condamnation, en juillet 2025, à cinq ans de prison pour atteinte à l’unité nationale – par de multiples membres de la classe politique française et des représentants de la culture dans le pays, c’est finalement après une requête formulée par le président allemand
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Arezki Said Journaliste, spécialiste de l’Algérie
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